vendredi 10 octobre 2008

LE CAPITAINE BONHOMME EST MALHEUREUSEMENT DÉCÉDÉ, MAIS IL NOUS RESTE LE CAPITAINE CLAUDE POIRIER, «CTÉ-I-VIDENT»

LE CAPITAINE BONHOMME EST MALHEUREUSEMENT DÉCÉDÉ, MAIS IL NOUS RESTE LE CAPITAINE CLAUDE POIRIER, «CTÉ-I-VIDENT»


Vraiment, je ne comprends pas qu'une chaine d'information qui se veut être sérieuse puisse accepter de prêter son antenne au «Capitaine Poirier», qui n'est rien d'autre qu'un «rapporteux», frustré de ne pas avoir joint les forces policières. Ceci dit en passant, quand même la police veut pas de quelqu'un, ça en dit long sur l'incompétence et l'ignorance de ce quelqu'un.


Si ce Claude Poirier se présentait aujourd'hui auprès du service des ressources humaines d'un quelconque média, il ne serait jamais engagé, sinon que pour passer le balai dans des couloirs peu achalandés, et ce de peur qu'il invective quiconque de bêtises.


Ce matin, sur les ondes de TVA, dans le cadre de l'émission «Le vrai négociateur» (tu parles d'un titre à propension de désinformation), nous avons eu droit à deux exemples probants de l'incompétence et de l'ignorance crasse dont sait faire preuve le «Capitaine Poirier». En effet, il a débuté cette émission en nous disant que «Le corps d'une femme qui n'était ni une femme ni un homme mais le corps d'une femme avait été retrouvé». Même avec toute la bonne volonté du monde, même les connaisseurs de language Morse ou ceux qui apprécient le Capitaine, même pour eux, il leurs était absolument impossible de comprendre ou de déchiffrer cette phrase. Certains diront à la défense du «Capitaine Poirier» que ce n'est qu'une bourde, qu'il s'est trompé, et que c'est sans conséquence. Bien moi je dis que si ce n'était qu'une bourde, Poirier est toujours dans les bourdes, car c'est pratiquement quotidiennement que cet ignare nous en sort des bourdes comme celle de ce matin. Ça fait bien longtemps que les Perronismes sont de loin dépassés par les Poirieristes!


Certains autres diront encore à sa défense que ce n'est pas de sa faute, qu'il souffre de défauts d'allocution graves et qu'il n'a que très peu de vocabulaire, mais que ce n'est pas important. Bien moi je trouve que cela n'est pas inimportant, et surtout quand on pense à la nouvelle génération montante de journalistes compétents, qui peinent à se trouver du travail, alors que le «Capitaine Poirier,» lui, bénéficie d'une tribune d'exception pour nous empester de ses bourdes, défauts d'allocution, et en plus, de ses vilaineries.


Oui, oui, de ses vilaineries. Car par suite de son commentaire incompréhensible sur la femme qui n'était ni une femme ni un homme mais qui a été retrouvé ( je ne sais pas si je dois mettre un e à ce mot) comme le corps d'une femme, les auditeurs d'aujourd'hui ont eu le droit de gouter au venin du «Capitaine Poirier», lorsqu'il a traité Monsieur Gilles Proulx de «pseudo-animateur», qui selon Poirier, s'improviserait dans les affaires de faits divers dont seul Poirier aurait la compétence pour en traiter. Les vomissures venimeuses du «Capitaine Poirier» ne se sont pas arrêtées là, il en a remis et s'en est pris à un auditeur intrépide qui a eu le courage de soulever l'inexactitude des propos du «Capitaine Poirier» concernant un des multiples amants de la Dame des coeurs Couillard.


D'ailleurs, parlant d'elle, cela me remémore que la seule émission du Capitaine Poirier où je ne l'ai pas trouvé discordant avec son invitée était justement celle où il recevait la Dame des coeurs Couillard. Il y avait entre-eux une parfaite harmonie, tant au niveau du langage que du contenu de leurs propos.


Il y eut autrefois un groupe de chanteurs qui nous ont chanté «Libérez-nous des Libéraux», et bien moi, je vous chante: Ramenez-nous le Capitaine Bonhomme et purgez-nous du Capitaine Poirier!


À bon entendeur, salut.



Marie-Claude Montpetit

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